"Fourmillent en moi
les libellules, les lucioles de mes étangs
Comme mes nuées de rancœurs
Dans le ressac des nuits séditieuses
Je te renvoie mes Phalènes
Ainsi que mes libellules
Tous mes criquets migrateurs
Et les lucioles
De mes étangs" (Léon Niangaly)